Dépistage et prise en charge du cancer de la prostate : le point par l'AFU..

En France, comme dans la plupart des pays qui utilisent à bon escient le PSA, la mortalité par cancer de la prostate a chuté de manière spectaculaire depuis 20 ans. Cette baisse de la mortalité semble même s'accélérer puisque sur la période 2005-2011, on observe une diminution de 3,8 % par an, alors qu'elle n'est que de 0,8 % en moyenne sur la période précédente 1980-2005.

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Néanmoins ce cancer tue près de 10 000 patients par an et il reste le premier en terme d’incidence chez l’homme. Il ne faut donc pas baisser la garde et continuer à faire progresser sa prise en charge et améliorer la qualité des soins.

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Le guide de Science et Avenir des meilleurs Hôpitaux et Cliniques

Le magazine Sciences et Avenir publie dans son numéro d’avril 2016 un guide par région des meilleurs hôpitaux et cliniques pour le traitement des cancers. Notre Service d'Urologie y figure en bonne place pour la région Nord-Est concernant la prise en charge des cancers de prostate.


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Ce guide recense les hôpitaux et cliniques dans 5 grandes régions, le Nord-Ouest, le Sud-Ouest, le Nord-Est, le Sud-Est et la région parisienne. Il fait le point sur l’épidémiologie et le taux de guérison pour les types de cancers les plus fréquents, mais aussi sur les traitements de référence et les progrès de la recherche.

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INCA & INVS: de nets progrès pour certains cancers

Une large majorité de patients atteints du cancer de la prostate, du sein et du côlon-rectum sont toujours vivants cinq ans, voire dix ans après le diagnostic de leur maladie. Pour le cancer du poumon, les progrès restent beaucoup plus limités. Selon le rapport cosigné par l'Institut national du cancer (INCA) et l'Institut de veille sanitaire (INVS), la survie à cinq ans est passée de 72 %, pour les cancers de la prostate diagnostiqués au cours de la période 1989-1993, à 94 %, pour ceux qui ont été diagnostiqués entre 2005 et 2010, soit une hausse de 22 points. Suite de l'article…

La toxine botulique A dans le traitement de l'hyperactivité vésicale idiopathique

Cela fait un an que la toxine botulique A (BotoxTM) a obtenu une AMM pour le traitement de seconde ligne de l’hyperactivité vésicale idiopathique. Le Pr Emmanuel Chartier-Kastler de l’hôpital universitaire de la Pitié-Salpétrière (Paris 6) a fait le point sur sa place dans l’arsenal thérapeutique.

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Membre expert du Comité de Neuro-urologie et président du Neurourology promotion committee de l’ICS, le Pr Chartier-Kastler a été investigateur dans les études cliniques sur ce médicament.
« Le préambule fondamental est que ce traitement reste destiné aux patients atteints d’hyperactivité vésicale idiopathique qui sont réfractaires aux traitements de première ligne (anticholinergiques ou rééducation périnéale) », commente le Pr Chartier-Kastler.

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